Differenze tra le versioni di "Pennino/fr"

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De fait, celui-ci fut adopté par certains fabricants, en particuliers ceux qui étaient orientés sur la partie d'entrée de gamme du marché, bien avant la seconde guerre mondiale et pour des simples motifs économiques. Et même dans ce cas pourtant, on cherchait à rendre ces plumes plus précieuses en leur appliquant des dorures.  
 
De fait, celui-ci fut adopté par certains fabricants, en particuliers ceux qui étaient orientés sur la partie d'entrée de gamme du marché, bien avant la seconde guerre mondiale et pour des simples motifs économiques. Et même dans ce cas pourtant, on cherchait à rendre ces plumes plus précieuses en leur appliquant des dorures.  
  
Indipendentemente dalla robustezza della lega utilizzata per produrlo, un pennino deve comunque avere una punta opportunamente rinforzata, in quanto l'usura sarebbe eccessiva anche per l'acciaio. La punta deve sfregare per chilometri e chilometri sulla carta, e per avere un pennino durevole questa viene prodotta utilizzando un materiale molto più duro. In questo caso la scelta più comune è quella di una lega di iridio, e questo è il motivo per cui spesso, per indicare lo stato di usura della punta di un pennino, si fa riferimento appunto alla quantità di iridio presente sullo stesso, anche se in realtà detta punta può essere stata realizzata anche con altri metalli (un'altra scelta è ad esempio quella dell'osmio o varie combinazioni di entrambi).
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Indépendamment de la robustesse de la ligne utilisé pour la produire, une plume doit évidement avoir une pointe très renforcée, même dans le cadre de l'usage de l'acier qui aurait une usure par trop excessive. La pointe de la plume doit frotter des kilomètres et des kilomètres sur le papier, et pour obtenir une pointe durable, elle fut produite avec l'adjonction d'un matériaux bien plus dur. Le choix le plus commun se porta sur l'iridium. C'est pour cette raison que pour indiquer le statut d'usure d'une pointe de plume d'un stylo-plume, on fait référence à la quantité d'iridium présente sur cette dernière, même si en réalité la pointe peut être elle aussi réalisée avec d'autres métaux. (Un autre choix de  métal pour la pointe peut être par exemple celui de l'osmium ou diverses combinaisons des deux ; iridium et osmium.)  
  
 
In genere la punta del pennino viene realizzata fondendo direttamente sul posto una pallina di iridio (o materiale equivalente), questa poi viene tagliata in due dividendo la punta nelle due [[ali]] (''[[tines]]''), per la realizzazione del [[taglio]] (''[[slit]]'') attraverso cui deve passare l'inchiostro proveniente dall'alimentatore, necessario al [[funzionamento]] della stilografica, e levigata opportunamente per offrire una migliore scorevolezza. In genere poi, sia per permettere la fuoriuscita dell'aria dal conduttore, che per rinforzare la parte terminale del taglio delle ali, il pennino viene dotato del cosiddetto ''foro di areazione'', anche se in molti casi il solo scopo è quello di una maggiore robustezza meccanica e flessibilità. Alcuni pennini inoltre, come il [[Triumph Nib]] della [[Sheaffer]], o il pennino centrale della [[Omas 361]], sono appositamente progettati e lavorati per poter scrivere da entrambi i lati, compreso quindi anche il cosiddetto [[lato secco]].
 
In genere la punta del pennino viene realizzata fondendo direttamente sul posto una pallina di iridio (o materiale equivalente), questa poi viene tagliata in due dividendo la punta nelle due [[ali]] (''[[tines]]''), per la realizzazione del [[taglio]] (''[[slit]]'') attraverso cui deve passare l'inchiostro proveniente dall'alimentatore, necessario al [[funzionamento]] della stilografica, e levigata opportunamente per offrire una migliore scorevolezza. In genere poi, sia per permettere la fuoriuscita dell'aria dal conduttore, che per rinforzare la parte terminale del taglio delle ali, il pennino viene dotato del cosiddetto ''foro di areazione'', anche se in molti casi il solo scopo è quello di una maggiore robustezza meccanica e flessibilità. Alcuni pennini inoltre, come il [[Triumph Nib]] della [[Sheaffer]], o il pennino centrale della [[Omas 361]], sono appositamente progettati e lavorati per poter scrivere da entrambi i lati, compreso quindi anche il cosiddetto [[lato secco]].

Versione delle 15:10, 26 giu 2017

La plume ("nib" dans le monde anglo-saxon) est depuis toujours une des parties, si ce n'est la plus importante, dès plus importantes dans un stylo-plume. Elle comme devoir final d'amener l'encre jusque sur la feuille de papier. Les plumes des stylos-plume dérivent de celles des becs utilisés précédemment sur les porte-plume.

La différence principale étant que le stylo-plume en tant qu'instrument d'écriture beaucoup plus cher et sa plume en contact permanent avec l'encre, ces dernières furent traditionnellement réalisées en or (avec diverses mesures de carats, bien que la plus commune reste celle de 14 carats et celle de 18 carats), de façon à avoir une meilleure résistance à la corrosion des encres de l'époque.

Lorsque qu'avec l'évolution des technologies il est devenu possible de réaliser des plumes en aciers résistantes à la corrosion, l'obstacle majeur à leur diffusion devient essentiellement marketing, et aujourd'hui encore on tend a penser qu'un stylo-plume doté d'une plume en or a une valeur supérieur, indépendamment du fait que sur le plan strictement technique, ces dernières sont probablement inférieures.

L'or, bien qu'il soit renforcé par l'adjonction de différents métaux dans les lignes de production e stylo-plume, reste un métal grandement malléable. De ce fait, une plume en or est sujette à se plier de façon permanente bien plus facilement que n'importe quelle plume en acier et en général, finie par être nettement moins robuste dans le temps.

Une plume en or, évidement, ne peut être entièrement composée d'or (c'est-à-dire 24 carats) ; comme mentionné ce métal est extrêmement malléable,[1] et c'est pour cette raison qu'il est en général renforcé en le mélangeant à d'autres métaux pour obtenir des plumes à 14 carats, qui sont les plus communes, ou à 18 carats, utilisées pour donner plus de préciosité au stylo-plume, mais en général moins robustes.

Des plumes à plus grand contenu en or sont présentent sur quelques stylos-plume modernes (21 carats) et dans les années 1970 au Japon on est arrivé à des plumes allant jusqu'à 23 carats[2] Les stylos-plume anciens sont communément dotés pour la plus grande majorité de plumes en or 14 carats ; celles de 18 carats ont été introduites seulement dans les pays où, comme la France, d'un point de vue légal, on ne peut qualifier un objet en or que si sa mesure en carat n'est pas inférieure à 18.

Durant la période de la seconde guerre mondiale, avec les restrictions causées par les exigences de la guerre, l'usage de l'or pour les plumes fut notoirement réduit et dans certains pays, comme l'Allemagne et le Japon, totalement interdit. Durant cette période on vit fleurir des plumes aciers de différents types, souvent rebaptisées , spécialement en Italie, avec des noms plein de fantaisie et retentissant, ainsi que l'expérimentation avec des matériaux alternatifs, comme le palladium, qui aujourd'hui semble revenu à la mode sur les stylos-plume modernes. Mais l'usage de l'acier pour les plumes ne peut certes pas, n'être qu'attribué aux petitesses de la guerre.

De fait, celui-ci fut adopté par certains fabricants, en particuliers ceux qui étaient orientés sur la partie d'entrée de gamme du marché, bien avant la seconde guerre mondiale et pour des simples motifs économiques. Et même dans ce cas pourtant, on cherchait à rendre ces plumes plus précieuses en leur appliquant des dorures.

Indépendamment de la robustesse de la ligne utilisé pour la produire, une plume doit évidement avoir une pointe très renforcée, même dans le cadre de l'usage de l'acier qui aurait une usure par trop excessive. La pointe de la plume doit frotter des kilomètres et des kilomètres sur le papier, et pour obtenir une pointe durable, elle fut produite avec l'adjonction d'un matériaux bien plus dur. Le choix le plus commun se porta sur l'iridium. C'est pour cette raison que pour indiquer le statut d'usure d'une pointe de plume d'un stylo-plume, on fait référence à la quantité d'iridium présente sur cette dernière, même si en réalité la pointe peut être elle aussi réalisée avec d'autres métaux. (Un autre choix de métal pour la pointe peut être par exemple celui de l'osmium ou diverses combinaisons des deux ; iridium et osmium.)

In genere la punta del pennino viene realizzata fondendo direttamente sul posto una pallina di iridio (o materiale equivalente), questa poi viene tagliata in due dividendo la punta nelle due ali (tines), per la realizzazione del taglio (slit) attraverso cui deve passare l'inchiostro proveniente dall'alimentatore, necessario al funzionamento della stilografica, e levigata opportunamente per offrire una migliore scorevolezza. In genere poi, sia per permettere la fuoriuscita dell'aria dal conduttore, che per rinforzare la parte terminale del taglio delle ali, il pennino viene dotato del cosiddetto foro di areazione, anche se in molti casi il solo scopo è quello di una maggiore robustezza meccanica e flessibilità. Alcuni pennini inoltre, come il Triumph Nib della Sheaffer, o il pennino centrale della Omas 361, sono appositamente progettati e lavorati per poter scrivere da entrambi i lati, compreso quindi anche il cosiddetto lato secco.

I pennini vengono classificati classicamente[3] in base ad una serie di numeri che ne esprimono le dimensioni, benché più o meno tutti i produttori abbiano adottato cifre simili (con valori che vanno dallo 00 al 12) i numeri non hanno un riferimento ad una precisa misura, ma sono semplicemente una indicazione relativa (un pennino #4 è in genere più grande di un #2 dello stesso produttore), e diversa fra un produttore e l'altro. Molto spesso (vedi ad esempio i numeri di Waterman e quelli di Montblanc) questi numeri venivano utilizzati anche per identificare i diversi modelli di una linea di produzione.

Sigla Dimensione
EF Extra-fine
F Fine
M Medio
O Medio-Obliquo
B Largo (Broad)
BB Doppia larghezza
BBB Tripla Larghezza
OF Obliquo fine
OB Obliquo largo
OBB Obliquo doppio
M Musicale (Music nib)
KF Kugel fine
KM Kugel medio
KB Kugel largo

Un'altra possibile classificazione è invece quella effettuata sulla base della dimensione ed eventualmente la forma della punta del pennino stesso (fine, media, larga, ecc.). Anche in questo caso non esiste una standardizzazione universale adottata da tutti, anche se molti produttori hanno finito per utilizzare delle sigle abbastanza uniformi fra loro, come quelle riportate nella tabella a fianco, buona parte delle quali sono in uso ancora oggi.

File:Aurora-88-Warranty-Back.jpg
Una tabella di sigle di pennini.

Di nuovo si tratta di indicazioni relative, e non adottate da tutti (ad esempio la Waterman nel 1927 introdusse una classificazione basata su un codice di colori), per cui ci possono essere delle notevoli differenze fra pennini marcati allo stesso modo da aziende differenze; ad esempio per le diverse modalità di scrittura nei rispettivi paesi in genere un medio giapponese equivale ad un fine europeo.

Sempre nell'ambito della realizzazione della punta, oltre ai riferimenti alle dimensioni, sono state adottate delle nomenclature specifiche per indicare in maniera generica alcune versioni particolari di pennini, dotati di caratteristiche specifiche determinate appunto dalla forma della loro punta, per questa ulteriore classificazione si rimanda alle pagine del seguente elenco che li descrivono uno per uno:[4]

Una terza possibile classificazione, ancora meno uniforme in quanto alla terminologia utilizzata, e che spesso non ha alcun riferimento ufficiale nella produzione delle varie aziende è quella relativa alla maggiore o minore flessibilità del pennino, una classificazione che inoltre tende a perdersi con la produzione moderna, dominata da pennini rigidi. Uno dei problemi delle stilografiche infatti (considerato uno svantaggio nei confronti della sfera, e quando risolto usato come fattore di promozione per le proprie penne) è quello che una pressione eccessiva sul pennino può nuocere allo stesso, cosa che rende abbastanza difficoltoso il ricalco.[5] Per questo una delle poche terminologie coerenti (almeno nel mondo anglosassone) è quella dei cosiddetti pennini da contabile (accountant nib), chiamati spesso anche Manifold, molto rigidi e duri, utilizzabili per questo anche per lavori contabili dove le copie a carta carbone erano la norma.

Non esistendo riguardo la flessibilità una terminologia ufficiale, (anche se alcune marche, come la Eversharp marcavano esplicitamente alcuni fra i propri pennini flessibili con la scritta Flexible) quella adottata nasce dalle convenzioni stabilite dai collezionisti, ed ha quindi anche un ampio margine di aleatorietà. Si è pertanto deciso, in maniera del tutto arbitraria, di fare riferimento alle seguenti definizioni:[6]

  • molleggiato pennino che risponde alla pressione, ma senza creare una significativa variazione del tratto, molti pennini moderni dichiarati flessibili rientrano in questa categoria.
  • demi-flex (semi-flessibile) pennino che risponde alla pressione con una significativa variazione del tratto, ma che usato normalmente non presenta variazioni significative.
  • flexible (flessibile) pennino che produce una variazione di tratto anche nella normale scrittura, in risposta alle piccole variazioni di pressione in essa esercitate.
  • wet noodle (super-flessibile) pennino estremamente flessibile, che deve essere usato con cura anche nella normale scrittura, portando a variazioni di tratto molto accentuate alla minima pressione.

Infine essendo un elemento essenziale della stilografica, il pennino ha conosciuto alcune variazioni costruttive da parte delle aziende. Inizialmente si è avuta una differenziazione portata avanti principalmente nei materiali costruttivi del corpo e della punta, ma fino agli anni '30 è sempre rimasto praticamente identico nelle forme e nelle funzioni. La prima significativa diversificazione è stata quella introdotta dalla Eversharp nel 1932, con il pennino a flessibilità variabile "Adjustable Point" dotato di una ghiera scorrevole. Ma i cambiamenti più significativi sono iniziati nel 1941, con l'uscita ufficiale sul mercato della Parker 51, che segnò il debutto del pennino carenato. Da allora si ebbero evoluzioni come il pennino conico della Triumph, le varie versioni di pennino alato dalla Wing-flow in poi, o il particolare "inlaid nib" introdotto con la PFM.

Note

  1. Avec le terme malléable (voir [1]) nous entendons un matériau très mou, facilement déformable sans perte de ses propriétés mécaniques, en substance l'exact contraire de résistance et souplesse; l'or est un des matériaux les plus malléable qui existent.
  2. Mais il n'existe, en dehors des exigences marketing, aucune raison techniques pour aller jusqu'à de tels niveaux, qui présentent de toute façon moins de résistance.
  3. per classicamente si intende facendo riferimento al periodo iniziale della diffusione della penna stilografica, questo tipo di classificazione oggi è praticamente scomparso.
  4. alcuni esempi di come si possano classificare le punte li trovate qui.
  5. oggi il problema non sussiste quasi più con la diffusione del digitale, ma non era banale quando le copie dovevano essere fatte a ricalco con la carta carbone.
  6. si è fatto riferimento alle definizioni di Davis Nishimura, come riportate in questo articolo pur non seguendole completamente.

Brevetti correlati

  • Brevetto n° US-399306, del 1889-03-12, richiesto il 1888-03-16, di Paul E. Wirt, Wirt. Costruzione pennino.
  • Brevetto n° GB-412610, del 1934-07-02, richiesto il 1932-12-30, di Edward S. Wood, Leon H. Ashmore, Esterbrook. Pennino intercambiabile.
  • Brevetto n° US-2019734, del 1935-11-05, richiesto il 1934-12-08, di Salomon M. Sager, Sager. Pennino centrale.
  • Brevetto n° US-2208460, del 1940-07-16, richiesto il 1938-02-21, di David Kahn, Mack Seyforth, Wearever. Costruzione pennino.
  • Brevetto n° US-2289963, del 1942-07-14, richiesto il 1940-10-24, di Benjamin W. Hanle, Eagle. Pennino intercambiabile.
  • Brevetto n° US-2316478, del 1943-04-13, richiesto il 1941-10-21, di Norman E. Weigel, Wearever. Costruzione punta pennino.
  • Brevetto n° GB-569286, del 1945-05-16, richiesto il 1943-11-16, di Arthur E. Andrews, William F. Johnson, Mentmore. Pennino a tre fenditure.
  • Brevetto n° US-2422351, del 1947-06-17, richiesto il 1944-12-23, di Benjamin W. Hanle, Eagle. Pennino intercambiabile.
  • Brevetto n° US-2431015, del 1947-11-18, richiesto il 1943-11-16, di Arthur E. Andrews, William F. Johnson, Mentmore. Pennino a tre fenditure.
  • Brevetto n° GB-656673, del 1951-08-29, richiesto il 1948-09-27, di Edward Stephen Sears, Swan. Pennino intercambiabile.
  • Brevetto n° GB-729639, del 1955-05-11, richiesto il 1951-03-01, di Edward Stephen Sears, Swan. Pennino intercambiabile.
  • Brevetto n° US-2811948, del 1957-11-05, richiesto il 1954-06-06, di David Kahn, Morris Levy, Wearever. Pennino intercambiabile.
  • Brevetto n° FR-1156940, del 1958-05-22, richiesto il 1956-07-13, di Umberto Legnani, LUS. Pennino intercambiabile.